RECHERCHER L’ INATTENDU
Le projet de paysage n’est pas uniquement un travail de composition, encore moins un choix esthétique. Il est un lieu de synthèse où chaque composante, vivante ou inerte, convoque à toutes les échelles les singularités d’un territoire et s’appuie sur ses dynamiques aériennes et souterraines. L’esthétique du projet est inattendue et toujours la conclusion d’un exercice de révélation.

RÉVÉLER LA GÉOGRAPHIE
Chaque projet, quelque soit sa taille, commence par un exercice de lecture à grande échelle afin d’identifier son ancrage géographique. Les premières cartes sont toujours vastes, à l’échelle du réseau hydrographique, du socle géologique ou des métropoles. Eco-régions, bassins versants, topographie et milieux existants forment un vaste maillage dans lequel le projet vient s’articuler et se connecter. La cartographie permet de rendre lisible ces assemblages et d’identifier les possibilités de renforcement des armatures territoriales existantes.

EXPLORER DE NOUVEAUX CLIMATS
Face au dérèglement climatique et à une imprévisibilité désormais évidente, le projet doit partir du mouvement pour produire de nouvelles formes de paysage.
La lecture géographique s’accompagne toujours d’une lecture des dynamiques climatiques sur site. Il s’agit d’isoler chaque composant invisible, en mouvement, pour pouvoir les manipuler, les conduire ou les sublimer. Brises thermiques, polluants, nature des sols, fil de l’eau, etc, imposent d’inventer systématiquement de nouvelles formes de représentations.
EXPLORER DE NOUVEAUX CLIMATS
Face au dérèglement climatique et à une imprévisibilité désormais évidente, le projet doit partir du mouvement pour produire de nouvelles formes de paysage.
La lecture géographique s’accompagne toujours d’une lecture des dynamiques climatiques sur site. Il s’agit d’isoler chaque composant invisible, en mouvement, pour pouvoir les manipuler, les conduire ou les sublimer. Brises thermiques, polluants, nature des sols, fil de l’eau, etc, imposent d’inventer systématiquement de nouvelles formes de représentations.

CO-CONSTRUIRE LE PROJET
Le projet de paysage n’est pas un acte solitaire. Il est une traduction partagée d’un ensemble de visions et d’expertises portées par une grande diversité d’acteurs.
La prise en compte des dynamiques climatiques et les singularités locales des territoires imposent un dialogue
rapproché avec les scientifiques, ingénieurs, élus, services techniques et habitants qui connaissent parfaitement leur territoire. Pour chaque site, un dessin tente de synthétiser l’ensemble de ces lectures pour produire une figure sensible initiatrice de projet.
CO-CONSTRUIRE LE PROJET
Le projet de paysage n’est pas un acte solitaire. Il est une traduction partagée d’un ensemble de visions et d’expertises portées par une grande diversité d’acteurs.
La prise en compte des dynamiques climatiques et les singularités locales des territoires imposent un dialogue rapproché avec les scientifiques, ingénieurs, élus, services techniques et habitants qui connaissent parfaitement leur territoire. Pour chaque site, un dessin tente de synthétiser l’ensemble de ces lectures pour produire une figure sensible initiatrice de projet.


